Dès notre plus jeune âge, nous développons, à cause de nos principes éducatifs, la pensée négative. D’après les théories de la neuroscience actuelle, il existe, dans notre cerveau des voies associatives à facilitation négative et d’autres à facilitation positive.
Les premières sont généralement surstimulées. Notre cerveau est entraîné, dès notre plus tendre enfance à faire de la construction négative. Notre attention est sans cesse soutenue par nos problèmes, nos soucis, les informations médiatiques catastrophiques, etc…, à tel point que nous ne sommes plus capables de penser positivement.
Pour être heureux, il faudrait entraîner systématiquement notre cerveau dans le positif, c’est-à-dire développer le concept de la pensée juste. La pensée est une énergie-force, probablement semblable à la lumière, composée d’ondes et de matière, dominant notre psyché et notre corps. Elle fait partie de notre esprit.
La pensée négative systématique est la source d’une multitude de maladies et de malheurs. Notre vie est comme un chemin sur lequel il y a des fleurs (nos joies) et des broussailles (nos problèmes). La plupart d’entre nous a appris, par le conditionnement social, à ne porter son attention que sur les broussailles et à ne plus voir les fleurs. Essayons d’inverser le processus.
Prenons de la distance par rapport à nos problèmes. Habituons-nous à fixer notre attention sur les fleurs, c’est-à-dire toutes les petites et grandes joies, satisfactions, bonheurs de notre vie quotidienne. C’est un nouveau système de pensée à acquérir, mais qui donne des résultats probants quand on le pratique tous les jours.